Jeune (1960s)

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A TOI

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(A tïAMtfrh de*

ancien*




Lecteur, mon ami, laisse, avant de me traiter
De tous les noms d'oiseaux, même les plus vulgaires
Dont ce recueil abonde en nombre involontaire,
Laisse à ma plume au moins le temps de t'expliquer.
Ami, qui que tu sois, ou jeune aviateur,
Ou sympathique ancien aux ailes encore fidèles,
Chaque page à tes yeux n'offrira qu'un modèle
Du temps déjà lointain où nous chantions en choeur
Ces gais refrains de Groupe autour des tables chères,
Que tes chastes oreilles et ta noble pudeur
Se taisent un moment, ne cherchant que candeur.
Poésie et finesse à ces jeux peu austères,
Auxquels tu es, sois franc, quelquefois bien à l'aise,
Entre amis pris plaisir, dans un mess accueillant...
Tu pardonnes dit-tu ? Permets donc qu'à l'instant
Avec toi je m'égaie, oubliant ce malaise,
Né d'un subit effroi de m'être aventuré
Dans des sujets nombreux qui t'auraient offensé
Tout à la joie, buvons au rythme des chansons
Qui des ailes de France ornent les traditions.

JEAN AILLES

I

Beau-père, mon beau-père, je viens me plaindre à vous ! (bis)
De quoi vous plaignez-vous ? Jean-Gilles, mon gendre !
De quoi vous plaignez-vous ? Ma fille est toute à vous !

II

Oui, mais que faut-il faire, quand nous sommes entre nous ? (bis)
Que ne l'embrassez-vous ? Jean-Gilles, mon gendre !
Que ne l'embrassez-vous ? Ma fille est toute à vous !

III

Oui, mais si je l'embrasse, on se foutra de nous ! (bis)
Que ne la pelotez-vous ? Jean-Gilles, mon gendre !
Que ne la pelotez-vous ? Ma fille est toute à vous !

IV

Oui, mais si je la pelote, ses nichons deviendront mous ! (bis)
Que ne la branlez-vous ? Jean-Gilles, mon gendre !
Que ne la branlez-vous ? Ma fille est toute à vous !

V

Oui, mais si je la branle, ça n'me fait rien du tout ! (bis)
Que ne la baisez-vous ? Jean-Gilles, mon gendre !
Que ne la baisez-vous ? Ma fille est toute à vous !

VI

Oui, mais si je la baise, des gosses elle me fout ! (bis)
Que ne la gougnotez-vous ? Jean-Gilles, mon gendre !
Que ne la gougnotez-vous ? Ma fille est toute à vous !

VII

Oui, mais si je la gougnote, ça me laisse un arrière goût ! (bis)
Que ne l'enculez-vous ? Jean-Gilles, mon gendre !
Que ne l'enculez-vous ? Ma fille est toute à vous !

VIII

Oui, mais si je l'encule, elle me chiera partout ! (bis)
C'est vous qui me faites chier ! Jean-Gilles, mon gendre !
C'est vous qui me faites chier ! Allez et branlez-vous !

REFRAIN

Relevez, les belles, votre blanc jupon,
Qu'on vous voit le cul, qu'on vous voit les fesses,
Relevez, les belles, votre blanc jupon,
Qu'on vous voit le cul, qu'on vous voit le con.

Trois orfèvres, à la Saint Eloi,

S'en allèrent dîner chez un autre orfèvre,

Trois orfèvres, à la Saint Eloi,

S'en allèrent dîner chez un bon bourgeois.

Ils ont baisé toute la famille,

La mère aux nichons, ïe père au cul, la fille au con.

II

La servante qui avait tout vu,

Leur dit : « Foutez-moi votre pine aux fesses »,

La servante qui avait tout vu,

Leur dit : « Foutez-moi votre pine au cul ».

Ils l'ont baisée sur une chaise,

La chaise a cassé, ils sont tombés sans débander.

III

Les orfèvres non contents de çà,

Montèrent sur le toit pour baiser minette,

Les orfèvres non contents de çà,

Montèrent sur le toit pour baiser le chat.

Chat, petit chat, chat, tu m'égratignes,

Chat, maudit cochon, tu m'égratignes les roustons.

IV

Les orfèvres chez un pâtissier,

Entrèrent pour s'offrir quelques friandises,

Les orfèvres chez un pâtissier,

Partout les mitrons se firent enculer.

Mais voyant leurs vits pleins de merde,

Ils ont sucé çà en guise d'éclairs au chocolat.
Jh'owX 1b av^/e tfvx ivne ..........^

U cLacd^e * tt* ^V

Les orfèvres chez le père Balzar,

Se sont foutus des demis à travers la gueule,

Les orfèvres chez le père Balzar,

Pour pouvoir pisser, ouvrirent leur falzar.

Père Balzar voyant leurs bites immondes,

Cria : « Je m'en vas en faire une salade de cervelas

Les orfèvres au son du canon,

Chasseront les boches de notre frontière,

Les orfèvres, au son du canon,

En guise de boulets, lanceront des étrons.

Leur braquemard battant la charge,

A grand coup de vits ils chasseront les ennemis.

VI

Sur la route de Longjumeau

REFRAIN

C'est à boire, à boire, à boire,
C'est à boire qu'il nous faut,
Oh, oh, oh, oh.

I

Ils étaient cinq à six bons bougres
Qui revenaient de Lonjumeau.
Ils entrèrent dans une taverne
Pour y boire du vin nouveau, Oh !

II

Ils entrèrent dans une taverne
Pour y boire du vin nouveau.
Quand ils fouillèrent leurs poches,
Ils trouvèrent un écu faux, Oh !

III

Quand ils fouillèrent leurs poches,
Ils trouvèrent un écu faux.
« Nom de Dieu », dit la patronne
Qu'on leur prenne leurs paletots, Oh !

IV

« Nom de Dieu », dit la patronne
Qu'on leur prenne leurs paletots.
« Nom de Dieu » dit la servante,
Leurs culottes, leurs godillots, Oh !

V

« Nom de Dieu », dit la servante,
Leurs culottes, leurs godillots.
Et quand ils furent en liquette,
Ils montèrent sur des tonneaux, Oh !

VI

Et quand ils furent en liquette,
Ils montèrent sur des tonneaux.
Les liquettes étaient si courtes
Qu'on y voyait les marteaux, Oh !
CctfX & We boive xc boive....
C^fi xc boive wvv*
VII

Les liquettes étaient si courtes,

Qu'on y voyait les marteaux.

« Nom de Dieu », dit la patronne,

Qu'ils sont noirs, mais qu'ils sont beaux, Oh

VIII

« Nom de Dieu », dit la patronne,
Qu'ils sont noirs, mais qu'ils sont beaux.
« Nom de Dieu », dit la servante,
J'en prendrais bien un morceau, Oh !

IX

« Nom de Dieu », dit la servante,
J'en prendrais bien un morceau.
« Nom de Dieu », dit la patronne,
Tous les six il me les faut, Oh !

X

« Nom de Dieu », dit la patronne,
Tous les six il me les faut.
Et tous les six y passèrent,
Payant ainsi leur écot, Oh !

XI

Et tous les six y passèrent,
Payant ainsi leur écot.
« Nom de Dieu », dit la patronne,
Qu'on leur rende leurs paletots, Oh !

XII

« Nom de Dieu », dit la patronne,
Qu'on leur rende leurs paletots.
« Nom de Dieu », dit la servante,
Leurs culottes, leurs godillots, Oh !

XIII

« Nom de Dieu », dit la servante,
Leurs culottes, leurs godillots.
Quand ils furent à la porte,
Ils écrivirent ces quelques mots, Oh !

XIV

Quand ils furent à la porte,

Ils écrivirent ces quelques mots :

C'est ici la bonne auberge,

Où l'on paye à coup de marteaux, Oh !
r

f


La Rue d'Alger

I

En descendant la rue d'Alger, (bis)
Par une putain je fus racolé, (bis)
Elle me dit d'un air tendre

Eh bien
Viens-tu tirer ta crampe ?
Et vous m'entendez bien
Et nous t'entendons bien, (choeur)

II

Comme je suis un homme rangé (bis)
J'aime à savoir où je mets les pieds (bis)
J'achète quat' sous de chandelle

Eh bien
Pour éclairer le bordel
Et vous m'entendez bien
Et nous t'entendons bien, (choeur)

III

En arrivant dans son taudis (bis)
J'examine les quatre coins du lit (bis)
Les draps, les couvertures

Eh bien
Etaient tout pleins d'ordures
Et vous m'entendez bien
Et nous t'entendons bien, (choeur)

IV

Comme je suis un foutu cochon (bis)
Je la couche sur le paillasson (bis)
Et je la carambole
Si bien
Que j'attrape la vérole
Et vous m'entendez bien
Et nous t'entendons bien, (choeur)



REFRAIN

Vinaigre et moutarde
Et chapeau de cocu
Fous ta pine et ta barbe
Et ton nez dans mon cul.
Ah !

Frotte ton cul contre le mien
Vas te faire foutre moi j'en reviens
Brin de zingue la faridondaine
Brin de zingue la faridondon.

I

En revenant du camp de Châlons
Brin de zingue la faridondon
J'ai rencontré Marie-Suzon.

II

J'ai rencontré Marie-Suzon
Brin de zingue la faridondon -
Je l'ai couchée sur le gazon.

III

Je l'ai couchée sur le gazon
Brin de zingue la faridondon
En la couchant j'ai vu son con.

IV

En la couchant j'ai vu son con
Brin de zingue la faridondon
Il était noir comme du charbon.

V

Il était noir comme du charbon
Brin de zingue la faridondon
Et tout couvert de morpions.
TtXcueie vv|ou

J« l' ov ^ovulxcc le ......

tivuju^ la ......

Civ coivdva\at J 'ai v>xt ^qxv CO*V -
bvm ^tu^ive la
M ct
♦ ♦ ♦
VI

Et tout couvert de morpions
Brin de zingue la faridondon
Qui défilaient en escadrons.

VII

Qui défilaient en escadrons
Brin de zingue la faridondon
Comme les armées de Napoléon.

VIII

Comme les armées de Napoléon
Brin de zingue la faridondon
Qui n'était qu'un foutu cochon.

IX

Qui n'était qu'un foutu cochon
Brin de zingue la faridondon
Car il baisait Marie-Suzon.

X

Car il baisait Marie-Suzon
Brin de zingue la faridondon
Sur les marches du Panthéon.



te plaisir m

vieux



i

Du Dieu Vulcain, quand l'épouse mignonne,
Va boxonner loin de son vieux sournois,
Le Dieu jaloux que l'amour aiguillonne,
Tranquillement se polit le chinois.
Va-t-en, dit-il à sa foutue femelle,
Je me fous bien de ton con chassieux,
De mes cinq doigts, je fais une pucelle,
Masturbons-nous, c'est le plaisir des Dieux, (bis)

II

Bah ! Laissons-lui ce plaisir ridicule,

Chacun d'ailleurs s'amuse à sa façon,

Moi, je préfère la manière d'Hercule,

Jamais sa main ne lui servit de con.

Le plus sale trou, la plus vieille connasse,

Rien n'échappait à son vit glorieux.

Nous sommes fiers de marcher sur ses traces,

Baisons, baisons, c'est le plaisir des Dieux, (bis)

III

Au Dieu Bacchus, quand, accablé d'ivresse,
Le vit mollit, et sur le con s'endors,
Soixante-neuf, et le vit se redresse,
Soixante-neuf ferait bander un mort.
O Clitoris, ton parfum de fromage,
Fait regimber nos engins glorieux.
A ta vertu, nous rendons tous hommage,
Gamaluchons-nous, c'est le plaisir des Dieux, (bis)

IV

Pour Jupiter, façon vraiment divine,
Le con lui pue, il aime le goudron,
D'un moule à merde, il fait un moule à pine,
Et bat le beurre au milieu d'un étron.
Cette façon est divinement bonne,
Pour terminer un gueuleton joyeux,
Après le dessert, on s'encule en couronne,
Enculons-nous, c'est le plaisir des Dieux, (bis)
6*xcuW JU bécota

vJ <&X wctô bt JU xdxyiojb

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V

Quant à Ploutos, avec sa large panse,
Le moindre effort lui semble fatigant,
Aussi peut-il, sans craindre l'indécence,
Faire sucer son pénis arrogant.
Et nous, songeant aux extases passées,
Languissamment, réjouissons nos queues,
Et, laissant faire une amante empressée,
Faisons pomper, c'est le plaisir des Dieux, (bis)

VI

Au reste, amis, qu'on en fasse à sa tête,
Main, bouche, con, cul, au plaisir tout est bon,
Sur quelque autel qu'on célèbre la fête,
Toujours là-haut on est sûr du pardon.
Foutre et jouir : voilà l'unique affaire,
Foutre et jouir : voilà quels sont nos voeux.
Ejaculons, qu'importe la lumière,
Ejaculons, c'est le plaisir des Dieux, (bis)

zauam PB u% ?teœet/çe

REFRAIN

Fous-la au lit, fous-la par terre,
Fous-la ousque tu voudras,
Soit par devant, soit par derrière,
Jamais la garce ne jouira.

I

Je fais le trottoir Rue de la Lune,
Je suce des pines pour un écu,

Pour un écu,
Par ces temps de mouise et d'infortune,
Il faut savoir vendre son cul.

II

Avec des marlous de bas étage,
Je fais une noce à tout casser,

A tout casser,
Je me demande comme à mon âge,
Je peux encore les faire bander.

III

Sur le boulevard Poissonnière,
Quand un micheton me fait de l'oeil,

Me fait de l'oeil,
Alors faut voir comme je suis fière,
Jamais putain n'eut tant d'orgueil.

IV

Si c'est une branlette qu'il me demande,
Dans le creux de la main je crache un peu,

Je crache un peu,
Et du salaud qui déjà bande,
Avec ardeur j'attaque le noeud.

V

Si c'est un pompier qu'il préfère,
D'un petit coup de langue je le fais jouir,

Je le fais jouir,
Je le fais payer bien moins cher,
S'il m'en donne assez pour me nourrir.
tWvi xu ie îocke jpotâ, j al demande ^ m

cUctwUu- <3e cenW reparcv la coxw&vhxve
VI

Il me fout sur le lit, voilà qu'il me baise,
Et pendant qu'il s'esquinte à jouir,

S'esquinte à jouir,
Moi je fais la chasse aux punaises,
Afin la nuit de pouvoir dormir.

VII

J'en suis encore toute esquintée,
L'avait-il gros ce vieux gaillard,

Ce vieux gaillard,
J'ai cru que j'allais être défoncée,
Pendant qu'il m'enfonçait son dard.

VIII

S'il me l'avait foutu dans le ventre,
J'aurais bien pu ne pas le sentir,

Ne pas le sentir,
Mais quand c'est dans le cul que ça vous rentre,
Bordel de Dieu, ça vous fait jouir.

IX

Je vous le dit en confidence,

Les hommes ça n'est pas ce qu'il nous faut,

Ce qu'il nous faut,
Çà vous procure trop peu de jouissance,
Pour tout le mal que çà vous fait.

X

Un frais vagin, c'est autre chose,
On le suce, on lui fait mille horreurs,

Mille horreurs,
Puis on finit par feuille de rose,
Que c'est comme un bouquet de fleurs.


Il avait un énorme blair,

Ses yeux regardaient de travers,

Et puis, tout nu, c'était dommage,

Il était plein de tatouages.

Par exemple, sur le nombril,

A l'ombre du scaferlati,

S'étalait un panneau-réclame

Qui disait : « Au bonheur des Dames ».

REFRAIN

J'sais pas son nom, je ne sais rien de lui,
Il m'a baisé toute la nuit,

Mon légionnaire.
Il reniflait, faisait du bruit,
Bavait en me faisant mimi,
Mon légionnaire.
Il était fort, il était beau,
Il cognait un peu des pinceaux,

Mon légionnaire.
Et quand je le croyais à bout,
Il a voulu m'en refoutre un coup,
Dans la dossière.

II

Toujours je pense à cette nuit,
Quand dans l'ombre à côté de lui,
En attendant qu'il récupère,
Je déroulais ses bandes molletières.
Pendant qu'il me roulait des patins,
Et que sournoisement sa main,
Aux ongles écornés pour caresses
Me labouraient la peau des fesses.

REFRAIN

J'sais pas son nom, je ne sais rien de lui,
Il m'a baisé toute la nuit,

Mon légionnaire.
Il reniflait, faisait du bruit,
Bavait en me faisant mimi,
Mon légionnaire.
Il était fort comme un taureau,
Il sentait bon le foutre chaud,

Mon légionnaire.
Et quand je le croyais à bout,
Il a voulu m'en refoutre un coup,
Dans la dossière.
III X

On l'a retrouvé dans l'escalier, %

Il était en train de se branler,

Gueulant : « Je n'ai pas eu mon compte ! »

C'est à vous faire mourir de honte.

Sur les marches je l'ai sucé,

Le patron m'a foutu congé,

C'est à vous dégoûter d'être bonne.

Il savait pas, je lui pardonne.

REFRAIN

De notre amour ce fut la fin,
Je n'ai jamais revu ce bon copain

De légionnaire.
Y'a pas à dire, des mâles comme ça,
Il faut avouer que ce n'est pas

De la petite bière.
La morale dit : « T'as trop baisé »
Il s'est tristement dégonflé
Mon légionnaire.
Et quand il suit son régiment,
Ses couilles traînent lamentablement,
Dans la poussière...

Monologue =
---= de Saint-Vallier

Une insulte de plus ! Vous, Sire, écoutez-moi.

Comme vous le devez, puisque vous êtes roi.

Vous la fîtes mener, nue, en Grève,

Vous la baisâtes là comme Adam foutit Eve.

Elle vous bénissait ne sachant, en effet,

Ce que roi cache au bout de la pine qu'il met.

Puis, Sire, sans respect pour ma race guerrière

Pour ma vieillesse faible, hélas ! m'est toujours fière,

Pour le cul des Poitiers, puceau depuis mille ans,

Tandis que revenant le con tout plein de sang,

Elle priait tout bas le Dieu des pucelages.

De rendre votre vit moins dur en son passage,

Vous, François de Vallois, le soir du même jour,

Vous avez sans pitié, sans pudeur, sans amour,

Des joies du cul, du con, usant toute la gamme,

Dans votre lit, tombeau de la vertu des femmes,

Flétri, déshonoré, déculotté, baisé,

Moi, un de Saint-Vallier, Vicomte de Brézé,

En m'enculant ainsi d'une manière infâme

Vous prenez donc mon cul pour le con d'une femme.

Vous, François, roi sacré Chevalier par Bayard,

Jeune homme il vous faut donc des fesses de vieillards,

Et les poils de mon cul, déjà blanchis par l'âge

N'ont pu me préserver d'un si cruel outrage.

O, vous, Dieu des Bordels, qu'avez-vous dit là-bas

Lorsque vous avez vu dans les plis de deux draps

S'enfoncer, raide et dure, et rougeâtre et sanglante

Cette pine royale en mes fesses saignantes.

Sire, en enfonçant trop vous avez mal agi,

Que du sang d'une enfant votre vit fut rougi.

Cela peut s'expliquer. On comprend qu'une femme

Ait pu se laisser prendre à votre piège infâme.

Mais que vous ayez pris et le père et l'enfant

Que vous ayez flétri sous votre vit bandant

Le con d'une Comtesse et le cul d'un Vicomte

C'est une chose impie et dont vous rendrez compte,

Quand votre braquemard de fatigue brisé

Sur vos roustons vidés pendra inerte, usé,

Sire, je ne viens pas insulté votre pine,

c
UWame la Convte^e qu/av>ec utv

-Uccud ^appUmeulai^c va^r feraient
........
Quand on est enculé on a mauvaise mine
Et mon pauvre vieux cul flétri par cet affront
A bien assez de peine à garder son étron.
Je me tais. Seulement, je me suis mis en tête
De venir vous montrer mon cul à chaque fête
Et, jusqu'à ce qu'un frère, un père ou quelque époux
La chose arrivera vous ait enculé vous.
En me grattant le cul, je reviendrai vous dire,
Vous m'avez enculé, vous m'avez fait mal, Sire.
Je fus tout déchiré par votre noeud sanglant,
Encore tout barbouillé et de foutre et de sang.
Peut-être voudrez-vous me forcer à me taire,
M'enculer à nouveau, vous n'oseriez le faire
Et pour que dans la nuit ce soit mon spectre nu,
Qui vienne vous trouver un bouchon dans le cul.

L'AMIRAL KORNILOFF

Lassé de la vie des cours et des camps, l'Amiral KORNILOFF décida de prendre femme.
Il s'en fut trouver la marquise, son amie, et lui dit :

— Marquise, je voudrais me marier !

— Très bien, fit la marquise, j'ai trois filles !

Ce disant, elle frappa trois fois dans ses mains. Une jeune fille, d'une beauté admirable
et telle que je ne saurais la décrire, entra, fit la révérence et dit :

— Je m'appelle OLGA. J'ai vingt-deux ans. Je sais danser et chanter, le tout à ravir.
Je pratique le sanna, la boxe et aussi la savate, ce qui n'est pas réglementaire. Mais je possède
en outre un petit talent de société dont je vais incontinent vous donner la primeur.

Ce disant, elle releva ses jupes par devant, à hauteur convenable et, plaçant une aiguille
à bonne distance, elle pinça les lèvres de la partie la plus intime de son individu et, d'un jet
aussi puissant que bien ajusté, elle pissa au travers du chat, et ce sans en humecter aucune-
ment les bords.

— « Varna ! » fit l'Amiral, ce qui, en petit russien, est un cri de légitime admiration.

— ... Que voilà un petit jeu agréable et sain, et propre à remplacer le loto et le jeu de
trou-madame durant les longues soirées d'hiver, le soir au coin de l'âtre ! Mademoiselle, vous
serez ma femme !

— Patience Amiral, patience ! vitesse et précipitation sont mère de regrets et de désil-
lusions. J'ai encore deux filles. Attendez ! Attendez ! vous n'avez pas tout vu !

Ce disant, elle frappa trois fois dans ses mains. Une jeune fille, d'une beauté admirable
et telle que je ne saurais la décrire, entra, fit la révérence et dit :

— Je m'appelle SONIA. J'ai vingt ans. Je sais danser et chanter, le tout à ravir. Je
pratique le sanna, la boxe et aussi la savate, ce qui n'est pas réglementaire. Mais je possède
en outre un petit talent de société dont je vais incontinent vous donner la primeur.

Ce disant, elle releva ses jupes par derrière, à hauteur convenable et, ayant placé une
bougie allumée aux quatre coins du billard, d'un pet aussi puissant que bien ajusté, elle
éteignit les quatre bougies et ce, sans utiliser aucunement les bandes.

— « Varna ! » fit l'Amiral, ce qui, en petit russien est un cri de légitime admiration.

— ... Que voici un petit jeu agréable et sain, et propre à remplacer le loto ou le jeu de
trou-madame durant les longues veillées d'hiver, le soir au coin de l'âtre ! Mademoiselle, vous
serez ma femme !

— Patience Amiral ! Patience ! Vitesse et précipitation sont mère de regrets et de désil-
lusions. J'ai encore une fille. Attendez ! Attendez ! vous n'avez pas tout vu !

Ce disant, elle frappa trois fois dans ces mains. Une jeune fille, d'une beauté admirable
et telle que je ne saurais la décrire, entra, fit la révérence, et dit :

— Je m'appelle PETRUCHKA. J'ai dix-huit ans. Je sais danser et chanter, le tout à
ravir. Je pratique le sanna, la boxe et aussi la savate, ce qui n'est pas réglementaire. Mais
je possède en outre un petit talent de société dont je vais incontinent vous donner la primeur.
Vomirai KomUoîT

Ce disant elle wWa. ya^
Xcvx convenable et axjant placée vwxe Jjou^ie

aXUuue* aux 3 a- j>itia*£ *

 

 


pui^avtfc et View ajuste clic éteignit

qiudvc Wujic^ et ce pamf utili&er aucuucawut

le* Jban^r.........
Ce disant, elle se mit à plat ventre et, après avoir relevé ses jupes par derrière, à hau-
teur convenable, elle plaça une noisette dans la partie charnue de son individu et, d'un pet
aussi puissant que bien appliqué, elle l'envoya au plafond. Quand la noisette fut arrivée à la
partie supérieure de sa trajectoire ascendante, elle se retourna de face et la reçut dans la par-
tie la plus intime de son individu, en cassa la coquille et tendit l'amende à l'Amiral, et ce,
sans se servir aucunement de ses mains.

— « Varna ! », fit l'Amiral, ce qui, en petit russien, est un cri de légitime admiration.

— ... Que voici un petit jeu agréable et sain, et propre à remplacer le loto et le jeu de
trou-madame durant les longues veillées d'hiver, le soir au coin de l'âtre ! Mademoiselle, vous
serez ma femme !

Ce qui fut fait. Vingt ans ont passé. L'Amiral KORNILOFF est toujours Amiral et
Madame KORNILOFF jongle ... avec des noix de coco.

LE CORDONNIER DE PAMPHILE

Le cordonnier de Pamphile
A élu domicile
Près d'un couvent de filles
Et bien il s'en trouva

Ah ! ah ! ah ! ah ! (bis)
Et bien il s'en trouva, (bis)

II

Car la gent monastique
Jetait dans sa boutique
Les trognons et les chiques
Restant de ses repas

Ah ! ah ! ah ! ah ! (bis)
Restant de ses repas, (bis)

III

Un jour, la soeur Charlotte
S'asticotait la motte
Avec une carotte
Grosse comme le bras

Ah ! ah ! ah ! ah ! (bis)
Grosse comme le bras, (bis).

IV

En vain elle se masse
S'astique la culasse
Mais quelqu'effort qu'elle fasse
Le foutre ne vient pas

Ah ! ah ! ah ! ah ! (bis)
Le foutre ne vient pas. (bis)

V

Mais comme tout a un terme
Enfin jaillit le sperme
Le con s'ouvre et se ferme
Et elle déchargea

Ah ! ah ! ah ! ah ! (bis)
Et elle déchargea, (bis)


ïW yxxx jUo^o^ô cojmi^uc

la c
tomber Uc \?outc£ae

Ou, coriojtvnici1 dW


du coràoixxiwr dW W^r ( hïtf)
VI

Us


Alors, toute contente
Elle retire de sa fente
La carotte écumante
Et elle la jette en bas

Ah ! ah ! ah ! ah ! (bis)
Et elle la jette en bas. (bis)

VII

Par un hasard comique
La carotte impudique
Tomba dans la boutique
Du cordonnier d'en bas

Ah ! ah ! ah ! ah ! (bis)
Du cordonnier d'en bas. (bis)

VIII

Cré nom de nom, quelle chance
C'est aujourd'hui dimanche
Elle est à la sauce blanche
Et il la dégusta

Ah ! ah ! ah ! ah ! (bis)
Et il la dégusta, (bis)

IX

Cré nom de Dieu, Fifine
Cette carotte sent l'urine
Elle a servi de pine
Et il la dégueula

Ah ! ah ! ah ! ah ! (bis)
Et il la dégueula, (bis)

X

Comme la soeur Charlotte
Trouvait qu'une carotte
Pour s'astiquer la motte
Çà ne suffisait pas

Ah ! ah ! ah ! ah ! (bis)
Çà ne suffisait pas. (bis)

XI

Elle vint trouver Pamphile
Elle lui dit : « Mon Pamphile
Il faut que tu m'enfiles »
Et Pamphile l'enfila

Ah ! ah ! ah ! ah ! (bis)
Et Pamphile l'enfila, (bis)

STANCES A SOPHIE

Tu m'demandes tes lettres, ta photographie,
Ton éponge à cul, ton bidet de métal,
Je m'en fous pas mal, ingrate Sophie,
Et j'te renvoie l'tout par colis postal.

Tu veux faire la peau, un métier d'grenouille,

Et me remplacer par d'autres amants,

Vois-tu je m'en fous comme de la peau de mes couilles,

Car tu pues du bec et t'as le con trop grand.

Quand j't'ai rencontrée, un soir dans la rue,
Que tu dégueulais tripes et boyaux,
Ah ! si j'avais su qu'tu n'étais qu'une grue,
Je t'aurais balancée dans le trou des goguenots.

Mais j't'ai recueillie, Dieu c'que j'étais bête,
Car le lendemain je me suis aperçu
Que j'avais des morpions des pieds à la tête,
Des poils du nombril jusqu'au trou du cul.

Le surlendemain t'avais tes affaires,
Le sang inondait la chambre à coucher,
Et j'ai consenti pour te satisfaire,
De te lécher l'con pour le mieux sécher.

J'ai même aspiré de tes pertes blanches,
Mais quand j'ai voulu tirer un bon coup,
Tu ne gigotais pas plus qu'une planche,
Et je m'esquintais sans rien faire du tout.

Et puis tu avais des passions honteuses,
J'en rougis encore rien que d'y penser,
Car pour apaiser ta chair luxurieuse,
A tous tes caprices il m'a fallu céder.

N'a-t-il pas fallu que ma langue se perde
Dans les plis crasseux du trou de ton cul,
Je l'ai retirée toute pleine de merde,
J'en ai dégueulé, tu n'en as rien su.

Adieu pour toujours, vas, tu me dégoûtes,
De toi je me fous, je sais me branler,
Je ferai gicler mon sperme goutte à goutte,
Plutôt que d'revenir te caramboler.

Oui, tu peux partir, j'te le dis sans clauses,
N'ayant plus de putain, j'ne serai plus cocu,
Et si par hasard j'te refous quelque chose,
Ce ne sera jamais que mon pied dans le cul.
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Mollement étendu, la bouche souriante,

L'aimé, plein de désir, contemple son amante

Qui vient de se glisser au fond de sa couchette

Pour faire à son cher gosse une bonne sucette.

Saisissant bien le vit sur la pointe, aussitôt,

D'une amoureuse lèvre elle y pose un bécot.

Puis, la décallotant d'une main de velours,

De son experte langue elle en lèche le tour.

Lors, du haut jusqu'en bas, la langue douce et fine

De l'amante, s'exerce à caresser la pine

De son amant chéri qui bande toujours mieux.

Le plaisir qu'il ressent se découvre en ses yeux

Et, pour accompagner ses gentilles sucettes,

Ses petits doigts mignons chatouillent ses couillettes.

Tout son être charmant ressent un doux frisson

Et tout bas il murmure : « Chérie, comme c'est bon ! ».

Le voyant excité, pris d'un désir farouche,

Bien vite elle saisit la bite à pleine bouche

Et la garde un instant, ensuite la ressort,

La bécote partout et la reprend encore.

Or, chaque fois qu'elle est dans la bouche enfoncée,

L'amant sent les douceurs de la bonne sucée.

Pour combler ce bonheur et montrer sa passion,

Les couilles de sa main ressentent la pression.

Maintenant il se pâme, et la liqueur si bonne

Sort en rapides jets dans la bouche mignonne.

Elle aspire, elle tête alors plus fortement,

Les couilles de l'aimé se vident doucement.

Voyant qu'il jouit bien, la gentille amoureuse

Avale tout le foutre et sourit radieuse.

Et, sachant avaler, elle a dans ce beau jour

A son fidèle amant témoigné son amour.

Lors, la remerciant de ce bonheur extrême,

L'amant lui dit tout bas : « Chérie, comme je t'aime ! »

A ce très doux murmure elle apprête ses doigts

Et tous deux s'enlaçant vers de nouveaux exploits

Volent, l'âme ravie et les sens en délire...

Car l'amour n'est jamais fatigué de sa lyre.

CAROLINE

REFRAIN

Tonton, tontaine, tontaine,
Tonton, tontaine, tonton.

I

Ah ! mes amis, versez à boire,
Versez à boire et du bon vin.

II

Je vais vous raconter l'histoire
De Caroline la putain.

III

Son père était un machiniste
Du théâtre de l'Odéon.

IV

Sa mère était une fleuriste
Vendant des roses et son bouton.

V

A quatorze ans suçant des pines
Elle fit son éducation.

VI

A dix-huit ans dans la débine
Elle s'engagea dans un boxon.

VII

A vingt-quatre ans, sur ma parole,
C'était déjà une fière putain.

VIII

Elle avait foutu la vérole

Aux trois quart du Quartier Latin.

IX

Le marquis de la couille molle
Lui fit bâtir une maison.

X

A l'enseigne « Du morpion qui vole »
Belle enseigne pour un boxon.
ïWtW ton cal jcmtvc Xc mum,
Va&Kurc Powkv ttuâ xwicxuft
W1V15C ^itt^rœ ta Itewwdoitte
tavtt jôc ta
XI

On avait décoré les salons
Avec des ailes de morpions.

XII

Trois poils du cul crasseux et sales
Servaient de corde à son violon.

XIII

Elle voulut aller à Rome
Pour recevoir l'absolution.

Le pape était bien à Rome
Mais il était dans un boxon.

XIV

XV

Elle s'adressa au grand vicaire
Lui dit : « J'ai trop prêté mon con ».

XVI

« Si tu l'as tant prêté ma chère
Eh bien prête-le moi donc ».

XVII

Et la serrant entre ses cuisses
Il lui donna l'absolution.

XVIII

Il attrapa la chaude pisse
Et trente-six douzaines de morpions.

XIX

Elle finit cette tourmente
Dans les bras d'un marmiton.

XX

Elle mourut la pine au ventre
Le con fendu jusqu'au menton.

XXI

Et quand on la mit dans la bière
On vit pleurer tous les morpions.

XXII

Et comme on la portait en terre
Ils s'arrachèrent les poils du con.
fttv ! la tfcdoçji.........

Ojcc Xav^ -malwopx^e

xar il ute p^opse tirelire....
= LA SALOPE

REFRAIN

Ah ! la salope,
Vas laver ton cul malpropre,
Car il n'est pas propre, tirelire (bis)
Car il n'est pas propre, tirela (bis).

I

Suzon aimait à rire avec les garçons
Mais à force de rire son ventre devient rond.

II

Mais à force de rire son ventre devient rond
Sa mère lui demande « Qui t'a fait ça Suzon ? ».

III

Sa mère lui demande « Qui t'a fait ça Suzon »
C'est le garde-barrière, derrière la maison.

IV

C'est le garde-barrière, derrière la maison
Il sortit de sa poche un long bâton tout rond.

V

Il sortit de sa poche un long bâton tout rond

Au bout il y avait de la crème, cré nom, que c'était bon.

VI

Au bout il y avait de la crème, cré nom, que c'était bon
Elle ne se vend pas par livre, ni même par quarterons.

VII

Elle ne se vend pas par livre, ni même par quarterons
Mais dans une mesure que toutes les femmes ont.

VIII

Mais dans une mesure que toutes les femmes ont
Et cette mesure, mesdames, c'est ce qu'on appelle un con.

IX

Et cette mesure, mesdames, c'est ce qu'on appelle un con
Et au bout de neuf mois, il vint un beau garçon.

X

Et au bout de neuf mois, il vint un beau garçon
Et il avait la gueule, la gueule de Gaston.

XI

Et il avait la gueule, la gueule de Gaston
Avec cette différence, c'est qu'il était moins con.
în mfomfc vvw e^lWc

eu va wxt de&oid rWtx

ûvvim oîcax cockcxv de oavatue

c|ui bcwtàe deu*^ w couv.
Bh! £A/T£4A/T Am l

REFRAIN

Si je t'encule, cule, cule,
Si je t'encule, c'est pour ton bien.
Si je t'encule, cule, cule,
Je t'enculerai jusqu'à demain.

I

En entrant dans un église
On ne voit d'abord rien
Qu'un vieux cochon de moine
Qui bande dans un coin.

II

Qu'un vieux cochon de moine
Qui bande dans un coin
Et confesse les femmes
Du soir jusqu'au matin.

III

Et confesse les femmes
Du soir jusqu'au matin
Et dit à la plus belle
« Tu reviendras demain ».

IV

Et dit à la plus belle
« Tu reviendras demain
Et nous ferons ensemble
Un petit capucin ».

V

Et nous ferons ensemble
Un petit capucin
Aux couilles tricolores
Aux poils du cul châtains.

VI

Aux couilles tricolores
Aux poils du cul châtains
Qui confessera les femmes
Du soir jusqu'au matin.

VII

Qui confessera les femmes
Du soir jusqu'au matin.
Il aura la vérole
Mon père l'avait bien.